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Santé (Anne-Marie Claircin SAINTILIEN)



Cancer du testicule : briser le tabou !

de nombreux amas au sein du tissu conjonctif qui sépare les canalicules séminifères. La testostérone assume diverses fonctions : elle joue un rôle prépondérant dans le développement des caractères masculins, stimule le développement des organes annexes de l'appareil reproducteur (la prostate, les vésicules séminales, etc.), et possède un effet stimulant sur l'anabolisme (synthèse) des protéines.

Le scrotum ou bourses
Le scrotum est la poche cutanée protectrice qui contient les testicules. Il est situé dans l'aine, à l'extérieur de la cavité abdominale. Cette localisation permet aux testicules de rester à une température légèrement inférieure à celle du corps, ce qui est une condition indispensable pour le développement de spermatozoïdes viables. Après la puberté, le scrotum et la peau autour de celui-ci se couvrent peu à peu de poils. Ces poils pubiens persistent pendant toute la vie adulte.


Les organes génitaux masculins

Les organes génitaux masculins sont les principaux caractères sexuels de l'homme. La
Bien que rare, le cancer du testicule représente près d'un tiers des cancers de l'homme jeune. Indolore, cette maladie est diagnostiquée suite à la découverte d'une grosseur dans les bourses. Le plus souvent chirurgical, son traitement permet aujourd'hui une guérison dans la grande majorité des cas. Le point sur cette maladie encore taboue. 

L'intimité masculine en images 

 

 

 

 Siège de la production des spermatozoïdes, les deux testicules sont contenus dans un petit sac appselé scrotum. De la forme d'un oeuf, ils sont également responsables de la sécrétion d'une hormone : la testostérone. Zoom sur ces parties intimes. 

Anatomie des testicules

Siège de la production des spermatozoïdes, les deux testicules sont contenus dans un petit sac appelé scrotum. De la forme d’un oeuf, ils sont également responsables de la sécrétion d’une hormone : la testostérone. Zoom sur vos parties intimes.
Vous croyez tout savoir sur l’intimité masculine ? Découvrez les secrets de ces organes essentiels.

Les testicules

Les testicules sont deux glandes ovales d'environ 4 centimètres de long et 2,5 centimètres de large. Les testicules sont suspendus dans les bourses ou scrotum.
  









Le testicule comporte plusieurs sections (lobules), chaque lobule étant constitué d'un canalicule séminifère, un tube long, mince et enroulé sur lui-même. A partir de la puberté, les cellules des canalicules séminifères produisent des spermatozoïdes, les cellules reproductrices mâles, de façon presque continue.
Les autres cellules, qualifiées d'interstitielles, sécrètent la testostérone, l'hormone mâle, pour la déverser dans la circulation générale. Ces cellules forment de nombreux amas au sein du tissu conjonctif qui sépare les canalicules séminifères. La testostérone assume diverses fonctions : elle joue un rôle prépondérant dans le développement des caractères masculins, stimule le développement des organes annexes de l'appareil reproducteur (la prostate, les vésicules séminales, etc.), et possède un effet stimulant sur l'anabolisme (synthèse) des protéines.
Le scrotum ou bourses
Le scrotum est la poche cutanée protectrice qui contient les testicules. Il est situé dans l'aine, à l'extérieur de la cavité abdominale. Cette localisation permet aux testicules de rester à une température légèrement inférieure à celle du corps, ce qui est une condition indispensable pour le développement de spermatozoïdes viables. Après la puberté, le scrotum et la peau autour de celui-ci se couvrent peu à peu de poils. Ces poils pubiens persistent pendant toute la vie adulte.

Les épididymes, réserve de spermatozoïdes

Les épididymes sont des canaux longs et fins dont la fonction est le stockage des spermatozoïdes nouvellement formés. Ils sont situés dans le scrotum, le long de chaque testicule. Les spermatozoïdes demeurent dans ces épididymes en forme de corde jusqu'au moment de l'éjaculation, lorsqu'ils sont éjectés dans le canal déférent.


Les organes génitaux masculins

Les organes génitaux masculins sont les principaux caractères sexuels de l'homme. La partie visible est formée du pénis et des testicules.

 








Le pénis
Le pénis est l'organe génital caractéristique de l'homme. Il est traversé par un canal, l'urètre, qui sert à la fois au passage de l'urine et du sperme. Le pénis est principalement constitué de deux corps caverneux et d'un corps spongieux. Lorsque l'homme est excité sexuellement, ces organes se gonflent de sang : c'est l'érection. La longueur du pénis varie selon les personnes (13 à 15 centimètres en moyenne), mais la taille n'a aucune influence sur la qualité de l'acte sexuel.
Le gland : une zone sensible
Le gland, c'est l'extrémité en forme de cloche du pénis. C'est une zone très sensible aux stimulations mécaniques provoquées par l'acte sexuel. Au bout se trouve un orifice, le méat urétral. Le gland est recouvert par une peau : le prépuce. Lors de l'érection, cette peau reste en arrière, et le gland se découvre. Ce prépuce est relié au gland par une membrane appelée le frein.


Les testicules : l'usine à spermatozoïdes
Les testicules sont le siège de la fabrication des spermatozoïdes. Ils sont au nombre de deux, contenus dans un sac, appelé scrotum, qui peut se contracter.



 









Ils ont la forme d'oeufs de 2,5 centimètres de large sur 3,5 cm de long en moyenne. Si les testicules sont placés en dehors du corps, c'est parce qu'ils doivent être à une température légèrement inférieure à 37 degrés, pour fabriquer les spermatozoïdes. Ils sont également responsables de la sécrétion d'une hormone : la testostérone. C'est elle qui est à l'origine du développement des caractères sexuels secondaires masculins (poils, musculature...).


Douleurs aux testicules

Les douleurs testiculaires sont un motif fréquent de consultation urologique chez les adultes jeunes. Elles sont souvent isolées mais peuvent aussi s'associer à des douleurs ou des troubles de la sensibilité de la verge, du périnée, du pelvis et parfois des troubles de la miction. Les causes sont très variées et il n'est pas toujours facile de les mettre en évidence.
En premier lieu, il faut éliminer une cause locale touchant le testicule ou plus souvent l'épididyme. L'infection est rarement la cause de douleurs chroniques alors qu'elle est fréquente en cas de douleurs aiguës s'accompagnant alors le plus souvent d'autres signes comme la fièvre, l'inflammation du scrotum limitant les doutes diagnostiques. Il en est de même des torsions testiculaires. Les tumeurs du testicule sont rares mais devront être systématiquement éliminées par une échographie testiculaire. La varicocèle est une dilatation de la veine spermatique responsable d'une gène scrotale en fin de journée. Elle se voit surtout du côté gauche et se manifeste cliniquement par une masse au-dessus du testicule dont la particularité est de disparaître lorsque le patient s'allonge. Le plus souvent les douleurs chroniques sont en rapport avec un ou plusieurs kystes de l'épididyme mais la preuve formelle de la participation de ces kystes au tableau douloureux n'est jamais certaine.
Les douleurs peuvent également être en rapport avec une cause urinaire en particulier un calcul de l'uretère pelvien. Des examens radiologiques complémentaires pourront être demandés, surtout si des traces de sang sont détectées dans les urines. Les prostatites chroniques donnent également ce type de douleurs même si elles s'accompagnent le plus souvent de douleurs pelviennes et d'une gène à la miction.
Le véritable problème des douleurs testiculaires intervient en cas de causes non locales et non urologiques. Il est parfois alors difficile de faire la part entre les névralgies et la traduction corporelle de problèmes psychologiques. Les névralgies du nerf pudendal (ou honteux interne) sont les mieux connues. Elles se manifestent par des sensations de brûlure de la région du périnée aggravées en position assise. Elles peuvent intervenir chez les cyclistes à la suite de la compression du nerf entre la selle et le relief osseux du pubis. Elles nécessitent souvent la réalisation d'infiltrations locales dans un but diagnostique et thérapeutique.
Devant toute douleur testiculaire, il est donc important de consulter un médecin mais il faut savoir qu'il n'est pas toujours possible de connaître l'origine exacte de ces douleurs. Les pathologies importantes pourront cependant être rapidement éliminées.








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